Les jours s'écoulaient paisiblement, sans que rien de notable ne s'y produisit. Jusqu'au jour où des travailleurs du bâtiment viennent sur le terrain à côté de nos charmants hommes-elfes.
Rapidement, une charmante maisonnette couleur terre sortie de terre. Et trois jours plus tard, un homme et une femme s'y installèrent...

- SPEND HELL CITY! GARE A TOI! NOUS SOMMES LA!

Jodie LARSON, la soeur aînée de Jérôme, s'écria face au ciel. Les jumeaux LARSON aspiraient tout deux à la richesse et tout ce qui va avec. Leur parents étaient si pauvres qu'ils avainet vendu leur enfants à la famille LARSON qui étaient aisés, mais sans espoir de procréer. Mais l'infortune les touchèrent et leur entreprise fut liquidé et ils mourruent d'une maladie étrange qui apparaissait aléatoirement et mystérieusement sur la population de SimWorld.
C'est pourquoi ils fuirent SimCity à la recherche d'un quartier en développement où ils pourraient fonder et rebâtir leur dynastie et leur richesse d'antant.
C'est avec leurs maigres économies qu'ils bâtirent cett maisonette et l'amménagère modestement (pour le moment).

Jodie et Jérôme entrèrent dans la maison, directement suivie du chauffeur de taxi qui leur amenèrent leurs maigres effets ainsi que le pupitre de Jodie.

- A peine arrivée et tu peinds! Nous avons nos valises à défaire, soeurette!
- Le temps, c'est de l'argent! Ce tableau aura le temps de prendre de la valeur d'ici là! Pour ma valise, cela attendra! On n'a presque rien sur le dos de toute façon! Et franchement, j'ai hâte de vite faire fortune pour avoir une floppé de serviteurs à ma botte, comme avant!...
- Prenons notre mal en patience, dis calmement Jérôme en regardant par la fenêtre.

- Tiens!...
- Mmmmmm... Qu'y a-t-il ? Marmonna Jodie.
- La factrice est là. On va pouvoir vérifier si ta source est exacte! Oh! Elle pose le journal par terre! Et s'il pleuvait! Pffff!...

Jodie reposa ses pinceaux et alla à la rencontre de sa factrice.

- EH! DIS DONC! Ce ne sont pas des manières à avoir lorsque vous distribuez le journal ! Il faut nous l'apporter! S'indigna vertement Jodie. Nous sommes pas des chiens!

- EH! OH! CALMOS! C'est plutôt à moi de dire cela ! Je fais mon boulot comme on me l'a demander de faire et le journal est toujours bien emballé ! Et si cela ne vous plait pas, payez-vous un chien. Si vous savez au moin ce que c'est !

- Les seules personnes qui reçoivent directement leur journal dans les mains, se sont les riches! Ceux qui paye un extra, souvent forfaitaire. PAS RICHE! PAS D'CAPRICE! Rajouta sarcastiquement la postière. C'est comme au foot! Il faut des échanges réguliers pour mener l'équipe à la victoire.
- Tu verras, lorsque je serrais riche! Marmonna pour elle Jodie en exquissant une micro sourire sournois.

- Pff! Pfff! Hummannhh! Alors? Hummpff!...
- Il faut soudoyer les postiers pour avoir le journal dans notre main !
- Humpppff! Fffff! Nan! Mmmouah! L'info? Pfff! Pfff!...
- Mmmm... Ah! J'ai trouvé! Ecoute : " Dans quelques mois, le manoir HIJIME de la richissime famille Japonaise De SOLERIS LUMERIS sera achevé. Après l'inauguration du Maire actuel, M. RAPETOUT, la famille la plus puissante et la plus secrète de tout SimWorld s'installera à Spend Hell City. Il est même dit que l'aînée de la famille souhaite marier son petit frère et ses deux petites soeurs afin d'assurer la lignée de cette dynastie très ancienne. Cependant, les futurs époux/ses devront obligatoirement prendre le nom "De SOLERIS LUMERIS"..." blablabla et bla! Jodie reposa le journal. Et le quartier et rempli de postes prêt à pourvoir!

- Je prendrais un boulot plus tard. Répondit Jérôme en éteignant leur télé flambant neuve. En ce qui concerne la famille "de nos rêves", et bien, ils nous reste plus que de trouver un moyen de les approcher! En attendant...
- En attendant, va te doucher! Je prépare le déjeuner.

Une demi-heure plus tard, ils s'installèrent autour de leur petite table pour manger un sandwich à la viande. Ils discutèrent gaiement de leur arrivé ici-là.

- ...et déménager en plein été! Il n'y a pas mieux! C'est très ensoleillé ici et nous vivons juste en face de piscine municipale.
- En attendant d'avoir notre piscine!
- Jérôme! Triple benêt! Pour croiser des gens riches, il faut être près des lieux de sorties! Et par cette chaleur, une piscine! C'est l'idéale!

- Youuuuhou! Jodie! Bien vu!
- Que ferais-tu sans moi?! Je me le demande!
- Attends! Ils nous faut trinquer! Je vais chercher notre bouteil de champagne!

- Levons notre verre à notre instllation à Spend Hell City! A la chasse aux riches qui s'annonce de bonne augure! Et à l'établissement de notre futur pouvoir!
- A nous! Les jumeaux LARSON buvèrent leur champagne avec joie.

Après ce maigre repas, Jodie décida de se remettre en forme, tandis que Jérôme postait par mail la candidature de sa soeur pour un poste dans le domaine de la médecine.
Alors que Jodie entamait sa dernière série d'exercices physiques, la sonnerie de la porte d'entré se mis à retentir dans toute la maison.
Jérôme étant sous la douche, c'est Jodie qui alla ouvrir la porte.

- Messieurs?!...
- Wouahouu! Bonjour jolie dame! Je n'aurais jamais que c'était une magnifique voisine qui allait habiter à côté de chez nous! Je me présente! Je m'appelle Juan AMOR, Pour vous servir! L'homme BCBG, c'est Edouard et celui en jean, c'est Willëm. Avec deux autres potes, nous vivons dans la maison à côté de la votre. Tout comme les cinq femmes qui vivent en face de chez nous, nous sommes les premiers résidents de ce quartier! Et vous? Mademoiselle...?
- Jodie. Jodie LARSON. Je viens tout juste d'amménager ici avec mon frère jumeau.
- Jumeaux? C'est qui l'aînée?
- C'est moi.
- Je l'aurais parié! Vous respirez la sagesse, l'intelligence et la beauté!

Jodie était très flatté par la flatterie de Juan, qui était fort à son goût! Elle pu vaguemet entendre les dénommé Willëm et Edouard discuter un peu plus loin, tandis que Juan ne cessait de la draguer.

- Et! Will! Regarde là-bas! Lillia embrasse un bel Apollon!
- Hein? Hein? Où ça?!...

- Mais elle est o... SPLASH! Will se reçu une bombe à eau en pleine figure dès qu'il se retourna vers son ami.
- AHAHAAHAHAAHAAAAH! Edouard était tordu en quatre tellement il riait. Comme... tu soufrais... de... déshydratation, j'ai voulu te... rafraîchir... un peu! Dit-il entre deux rires.

- Ô, mon bon roi! Milles merci pour votre gratitude sous ce magnifique soleil d'été brûlant!
- Hin! Hin! Hin! Hin! Moi! Le roi de l'eau, te bénit et te donne ma protecton infinie!
- Euuuh! Non merci! J'préfère la protections des ombres!

Puis les deux hommes rigolèrent de concert. L'été aidant, ils étaient plus décontracté et plus plaisantins!

- ... et dès que je vous ai vu, le béguin à cogné mon coeur.
- Vraiment? Gloussa Jodie. Et le béguin à aussi frappé mon coeur en vous voyant. Il me dit de vous inviter à la maison.
- Je suis tout à vous!

C'est ainsi qu'ils se retrouvèrent tous à l'intérieur de la maisonette. Edouard s'arrêta au mirroir. On ne lui avait cessé de lui apprendre de toujours soigner son apparence. C'est l'ne des clé de la manipulation d'autrui... Tout comme le fait si bien Juan. On avait beau dire, il état d'une beauté rare!

- Edu! Tu dance?! Il faut égayer cette maison!
- Pourquoi pas. Et il se mis à danser avec son ami tandis que Jodie était à deux doigts de se jetter sur Juan. Lorsque, tout à coup, la porte en face de lui s'ouvrit.

- Bonjour monsieur?...
- Edouard. Ce dernier arrêta de danser. Il ne dit pas son nom complet car il le sentait "mal". Il était arrivé tel un prince dans son palais alors que, bien que plus spacieux que leur "ferme", il n'avait pas de quoi arader. Ni le nom, ni la fortune.

- Je suis Jérôme LARSON et je viens tout droit de la grisaille de SimCity. Ma soeur et moi souhaitons faire bénéficier à cette ville émergeante notre savoir-faire dans le monde des affaires. Mais nous ne pensions pas que les terrain constructible ne se faisait que petit à petit, voir carrément sur commande! Dit-il d'un ton supérieur et condescendant.
- Vous n'êtes pas un homme d'affaire avisé si vous ne saviez même pas cela en venant ici! Edouard développa sa pensée lorsqu'il vit Jérôme hausser des sourciles. Je suis un homme d'affaire avisé, et je savais parfaitement à quoi mis attendre en m'installant ici.
- ... Jérôme commençait à paniquer. La tête de son interlocuteur ne lui disait franchement rien, mais une sonnette d'alarme retenti dans sa tête. Quel est votre nom déjà?
- Je ne le vous ai pas donné. Je suis Edouard III de SIMFLOUZE.

Jérôme faillit avoir une crise cardiaque. L'autre famille la plus puissante au monde était en face de lui, dans sa misérable demeure. Il se frotta les mains sans même s'en rendre compte et échangea des banalités avec le célèbre héritier, dans l'attente qu'il lâche un gros morceau...qui ne vint pas.

Willëm suivi toute la scène depuis le mirroir devant lequel il dansait en "toute impunité". Il avait capté les regards intéréssé à l'entente du nom d'Edu, et à l'intérêt "excèssif" portésur la personne de Juan par Jodie, car il faisait vraiment très "nouveau riche". Ils ne savait pas à qui ils avaient à faire, surtout pour Edouard. Il se marrait d'avance.

- Vous avez unregard intense et siexpressif! Minauda Jodie.
- Merci! Je vous retourne le complement! Chuchota Juan.
- Mmmmmmh! Et ce parfum! Puis-je m'approcher pour mieux le sentir? Fit Jodie en battant des cils.
- Je vous en prie.

Jodie fit mieux que de sentir son parfum. Elle l'embrassa doucement, vite suivit de Juan qui ne menait plus rien depuis longtemps déjà.
Pendant ce temps-là, Jérôme parla stradivarius avec Willëm tout en appelant ses hôtes à manger des sandwichs à la dinde.

Le repas fut bon enfant, bien qu'on sentait sans peine le désir brûler pour Jodie et Juan.

D'ailleurs, il ne tardèrent pas à sortir de table pour roucouler devant le canapé où Jérôme était assit, et pressé de mettre sa soeur au courant pour l'héritier de SIMFLOUZE.

Willëm vit, lui aussi, que Jodie prie au piège Juan à son propre jeu de la séduction. Ma foi, se dit-il, cela lui fera une bonne leçon de vie! Il devient carrément accros, lui!

Alors que Willëm se dirigea vers les toilettes, il vit Edu et Jéjé assis à même le sol, afin de faire de plus ample connaissances. Sans qu'il ne s'en rendit compte, Jéjé, se fit "évalué" par Edu. Mieux vaut garder ses ennemis près de soi, dit-on.

- Dis, mon chou, tu reste bien dîner avec moi? Je te fait des pâte à la carbonara dont tu m'en diras des nouvelles!
- Mmmmh! Je suis déjà conquis par les formes... que prend ton plat!
- Hihihihi! Coquin, va!

- Alors, ça ta plu? Interrogea sensuellement Jodie.
- C'était sa-vou-reux! Il ne me manque plus que le dessert!
- Le dessert est spéciale... Et Jodie entreprit de l'embrasser le long du bras.
Juan cru déffaillir, tant le désir était intense.

Il était si heureux qu'il prit subitement Jodie dans ses bras pour la serrer très fort. Il était carrément mordu.

Alors que Jodie fit une deuxième tournée de ses pâtes à la carbonara, Willën se rapprocha de Juan,et lui dit :
- Tu devrais faire attention à elle mon vieux! Elle est pas nette!
- Pas nette? Arrête ton char! Elle est divine!
- Si tu veux pas m'écouter, c'est ton droit! Mais ne vient surtout pas pleurer dans mes bras après!
- Pfff! Jaloux, va!
Willën ne releva pas, mais il sonna la cloche du départ.

- Je te dis "au revoir", ma biche!
- Ooooh... Ce rendez-vous étais si bien!... Et si nous nous revoyons demain soir pour un rendez-vous romantique.
- Pas de problème! Je passe te chercher.
- Je t'attendrais avec impatience.

Avant de partir, Willëm s'introduit furtivement dans la chambre de Jérôme. Il repéra les lieux et pensait. Il pensait que ce visage endormi lui rappelait vaguement quelque chose. Il reparti tout aussi furtivement et quitta cette maison dans laquelle il ne voulais plus y mettre les pieds.
L'air y était malsain.

Cette nuit-là, Jérôme n'eut pas l'occasion de parler à sa soeur d'Edouard, mais cela ne l'empêchait pas de aire de beaux rêves où elle se voyait proposer le mariage au creux de l'oreille par un jeune et riche homme.

Une vielle femme aux allures de bohémienne fit son apparition, aussi bien chez nos hommes que nos femmes.
Les femmes n'étant pas là quand elle apparu, elle traversa la rue et se planta devant ce pauvre Narty qui arrosait les arbres à simflouzes.
Après avoir débité un monologue des plus "mystique", il l'a renvoya vite-fait bien-fait de là où elle venait, c'est-à-dire de nulle part.
En se retournant, il pu voir Juan en action devant une jolie blondinette qui se promenait dans le coin.
Mine de rien, en s'occupant du desherbage du jardin, il "entendait" le discours suave et charmeur de ce Dangereux Don Juan, le DDJ est en action!

- Que vois-je! Une illumination divne! OoooOoooh! Après l'affront que j'ai subis, quelle douce récompence que cette vision qui adoucit ma peine et âme de parvenu en ces lieux!
- Hihihihi! Vous êtes bien trop flatteur à mon égard. Hihihihihi!
- Seul la vérité sort de ma bouche!
- Et que dit votre bouche à mon sujet?

- Vous êtes la Femme avec un grand "F"! Tant de grâce et de beauté... Pour qui arrive à peine dans le quartier, je le trouve paradisiaque depuis que je vous ai aperçu!
- Ooooh! Cela me touche beaucoup! On ne m'a jamais apporté autant d'attention comme vous le faite pour moi!

Et la voila prise, l'idiote! Pauvre femme celle qui pasera le reste de sa vie avec lui! Si au moins une pouvais lui remonter les bretelles à celui-là!

Oh oh! Cela sent l'orage!

- JUAN! Comment as-tu OSE balancer ton verre SUR le visage de TAMARA! Elle n'avait RIEN fait et RIEN dit d'outrageant! Toi et t... Même le poisson avarié et moins repulsif que toi! Tu me dégoute!
- Ta fini? Je t signale qu'elle m'a aggressé la première et je ne voulais que lui rafraîchir ses ardeurs! Je ne suis pas aussi "violent" pour OSER lever la main sur le visage d'une femme! C'est précieux.

Et voilà! Il retourne la situation à son avantage et passe pour un gentleman soucieux du "corp" des femmes! Pffff!

- Franchement, Juan, grandi un peu! Et Edouard III retourna, furieux, dans la maison.

- Aaaarrrrg!
- Qu'est-ce qui ne va pas Edu? (prononcer é-dou)
- Sincèrement, les manière de Juan envers la gente féminine commence à me taper sur le système. Il lui aura d'une seule fille sournoise qui lui joue un tour pour qu'il tourne aussi mal avec le reste des femmes...
- ...
- Il maintenant, à peine arrivé, il ramène une pauvre innocente ici, il nous la joue "je suis frappé par la flèche de Cupidon" et elle est en extase devant son fiel discours tout aussi fallacieux que lui!
- ...
- Je l'ai pourtat mise en garde contre lui, mais elle n'avait de yeux que pour Juan! soupire...
- ... soupire Tu sais, je pense franchement qu'il y aura une femme pour lui redonner toute sles souffrances qu'il a infligé aux femmes, et franchement, il l'aura tellement cherché que je me rangerais de son côté.

Edouard III ne dit plus rien. Frank se leva du canapé tandis que Narty regagna le salon/salle-à-manger.

La matiné fut riche en surprises... Frank et Willëm sont tombés fou amoureuxdès le premier regard avec Analia et Lillia, Edu ne jure que par Tamara, Juan entame une nouvelle conquête et moi, faire mumuse tout seul n'est rien face aux sorties entre amis et sourtout... sourtout face aux rendez-vous paradisiaques... Je suis sûr que mon bonheur se trouve dans la maison d'en face...
BON! C'est décidé! Je m'y rendrais pour trouver ma dulciné qui me fera atteindre mon but de 50 rendez-vous paradisiaque!

- Mais où est ce livre sur la cuisine Thaïlandaise?
- Arrête de chercher, Eveanna, je l'ai entre les mains! J'allais justement le ranger. Répondit Lillia.
- Ah! Merci! Au fait, comment s'est passé la visite chez les voisins d'en face?
- Allons sur le fauteuil, je vous raconterais tout.
- Même "l'incident"? Demanda Tamara en relevant la tête vers Lillia.
Drucilla, qui alla poser le journal sur le comptoir de la cuisine, regarda étrangement son ainé.

...

- OOOOoooOOOoOOoOOh... C'est pas vrai! Je n'aurais pas du partir avec Eveanna faire les course pour la maison! Je serais la dernière servie! Mais, par contre, ce JUAN ne perd rien pour attendre! J'attends de le rencontrer celui-là, histoire de lui montrer de quelle bois nous sommes faite, nous, les soeurs INNOCENCE!

- Je comprends mieux, aussi, pourquoi Analia semble être complètement dans la lune! Nous sommes sensé parfaire nos connaissances et elle "lit" un livre à l'envers.
- Elle doit sûrement s'interroger sur ses sentiments "coup-de-foude" pour Frank... Cela a dû la chambouler tout ça. Répondit Tamara.

Analia n'en pouvais plus. Elle étouffait dans cette petite maison exigüe. Elle ne pensais plus droit ou trop bien!
Elle ne pensais qu'à Frank! Et rien que cela la mettais en émoie! Elle se voyait lar-ge-ment faire sa vie avec lui! Et c'était un sentiment partagé!

C'est à ce niveau de pensé qu'elle aperçu des passants : un homme aux regards gourments et une femme âgée aux lèvres pincées.
Elle se releva donc pour les saluer.

Cette femme la toisa d'un regard hautain. Elle avait la nette impression d'être passé sous rayons X et que le verdicte était sans appel! Elle reprit son courage à deux main et se présenta :
- Bonjour. Je m'appelle Analia INNOSSENCE et je viens d'amménagé ici avec mes quatres autres soeurs.
- Denise Jacquet. Et lui c'est mon fils Gilbert. Cela se voit que vous êtes nouvelle dans le quartier! C'est honteux! Vous n'avez rien sur le dos ou presque quand j'apperçois l'accoutrement de vos soeurs pas la fenêtre!
Analia vit une troisième personne du coin de l'oeil, mais elle devait d'abord répondre à cette mégère à l'esprit dépassé.

- Premièrement, nous sommes toutes vêtu correctement et deuxièmement, nous ne sommes plus dans les temps anciens. Nous sommes libre de nous vêtir comme il nous plait. Nous ne faisons rien de répréhensible.
- Baliverne! Je ne veux plus vous entende, hérétique que vous êtes! Allez viens Gilbert! Elles ne sont pas pour toi, ne les fréquente pas!
- Heuuuuu.... Vas-y, maman! J'ai un truc urgent à faire! Je te rejoinds tout de suite!
Et il rattrappa Analia qui rentrait chez elle sans aucune autre forme de procès.

Eveanna était sortie voir ce qui était à l'origine de ce boucan dans leur jardin, et elle ne fut pas déçu que la mégère dégagea le planché! Mais son fils n'avait pas l'air d'être dans le même état d'esprit qu'elle!

Mmmmm.... Je ne regrette pas d'être venu ici! Elle est surperbe! Et quelle vu alléchante! J'aimerais bien faire un plongeon dans son décolté! Et ce cou gracile... cette bouche pulpeuse et les yeux pétillants! Une robe aussi bien chic que décontracté, idéale pour la fête et les rendez-vous paradisaiques! Serait-elle ma moitié promise?

- Bonjour, jeune Demoiselle! Je me présente : Narty Fétafète, pour vous servir!
- Enchanté! Eveanna INNOSSENCE!
- Je l'aurais parié!
- ???
- Vos soeurs sont venu me rendre visite hier matin! Nous sommes vos voisins d'en face! Et la curiosité m'a poussé ici pour rencontrer les deux inconnues qui n'ont pu venir nous rendre visite!
- Maintenant que je vous apreçois, je regrette aussi de ne pas avoir pu être présente ce matin-là!
- C'est pour cela que je suis venu ici! Au fait, tutoyons-nous! C'est plus "conviviale"!
- Aucun problème pour moi!
- Ravis de l'entendre d'une aussi jolie bouche que la votre!

- Elle ne devient belle que parce qu'elle trouve à qui parler! Un bel homme tel que vous me donne des vapeurs!
- N'en dis pas plus! Ou je ne pourrais pas me retenir devant une telle grâce! Tu me plait beaucoup! J'aimerais plus te connaitre!
- Sincèrement, je pense la même chose!
- Mais au fait, quel impolie je fais! Ton voyage jusqu'ici c'est bien passé?

- Oh oui! Sans encombre! Même si j'ai parfois l'impression qu'on nous regardent curieusement, comme si on débarquaient de Lune. J'ai m^me l'impression d'être cuisiné du regard par les autre voisins du quartier!
- Ils ferais mieux de se regarder, vu comment ils s'habillent!
- Vu avez remarqué aussi!?!

- Mwoouuuaaahahahahahahaaaahahaaha! Comment ne pas le remarquer! J'ai vu un brun en kilt en allant ici! Ahahah!
- Ahahahah! Et... ahah... moi un blond en... Ohoho dans un bermuda/short im-mon-de!
- Ont devraient pouvoir faire fortune en ouvrant un magasin de fringues! Hihihihiii!
- Ou une agence de conseil sur l'habillement!
Grand Sims que je me sens bien avec lui! Je comprends mieux les sentiments d'Ana et Lia, maintenant! Narty, tu es à moi! Et je ne compte pas te lâcher! Nous seront vite mariés! C'est une promesse!

- Viens! Entres donc! J'aimerais encore mieux te connaitre. Tu restera bien dîner avec nous!?!
- Je ne peux plus me détacher de ton sillage!

- Ana! Enfin, je te retrouve! Je t'ai cherché partout!
- Ce n'est pourtant pas bien grand ici!
- Mais qu'est-ce qui se passe, à la fin? Tu sors dans la Lune, tu rentre orageuse et tu disparais mystérieusement!
- Pour la partie orageuse, c'est à cause d'une voisine vulguère : Denise JACQUET!
- Mais pour le reste?.... il y aurait un lien avec un certain Frank, je me trompe?
- n plein dans le mile!

- On a eu un véritable coup de foudre! A peine rencontré et notre relation est déjà fusionelle! Il parle même de nous marier de suite!
- OH! C'est précipité tous ça! On viens à peine d'arriver!
- Oui je sais, mais même moi! Même moi, j'ai le même désir que lui! Qu'on se marie, qu'on fonde une famille... Ne sommes-nous pas venu ici pour ça?

- Viens un peu par-là, ma puce. Tu sais, mêm séparées, nous serons toujours aussi unies. Nous n'avons aucun lien de sang, mais nous nous aimons plus que certaines véritables soeurs. Nous sommes venues ici pour trouver le bonheur et fonder notre propre foyer. Suis ce que dis ton coeur... Sauf s'il te dis de t'éloigner de nous! Ahah!

- Merci Lia! T'es la meilleure!
- Je sais! Sans moi, personne n'avancerais sur son chemin personnel, sauf Tama!
- tu n'aurais pas les chevilles qui enflent par hasard!?
- Pffff! Allez! On rentre, il se fait tard!

- ... Oh! Narty? Tu m'écoute?
- Naaan! Chui perdu dans tes Monts de Venus TRES harmonieuses!
- Allez! Fais un effort et lève la tête vers mon visage... Voilà, tu y es presque!...

- Aaaah Naaan! Le reflet du soleil sur tes cheveux m'aveugle et me permet plus d'admirer ce joli visage digne d'être mis en peinture!
- Un soleil? Une peinture? Ahahah! Narty! Tu es un personnage haut en couleurs!
- D'où ma tenue vestimentaire!
- Ahahah!

- Et ce rire cristallin! La flèche de Cupidon m'a atteint! Vous êtes ma dulcinée!
- Oooooh! Narty...

- Oooooh! Lia! Vous êtes DEJA toutes casées, ou presque! Même Eve ne se détache plus de cet homme... Et moi, j'ai encore personne! J'ai le pressentiment que je vais finir veille fille aigrie et sans enfants! ans plus de rêve...
- Drucilla! Ma petite Dru... ne t'inquiète pas... Je suis sûre qu'il y a quelqu'un rien que pour toi ici!

- Quelqu'un d'aussi bien qu'Edouard III ! Continua Lillia.
- Ou que mon Frank! Rajouta Analia.
- Il reste un homme chez nous, mais je ne te le conseillerais pas!

- Aaaah! Ce perver commençait à me taper sur le nerf! Je ne veux plus le voir! Une bonne douche en cette fin de journée me fera le plus grand bien! j'en peu plus de penser!

- Aaaah! Je peux enfin lire le journal!... Ooooh! Les filles! Une nouvelle gare de TGV et une piscine municipale vont ouvrir... JUSTE A COTE!
- QUOI! S'écrièrent-elles toutes.
- Cela risque de nous ammener des nuisances sonores... Disais Tamara.
- Ou de beaux mecs pour moi! Ajouta Drucilla.
- En tout cas, le quartier sera plus animé! Fini Analia.

- J'ai passé un agrable moment avec toi. C'est pour cela que je t'invite pour un rendez-vous simpas samedi soir dans un café bowling.
- Je viendrais avec joie!
- Bon, ben, salut!
- Bye!
- !!!... Ne serais-tu pas en train d'apprendre la peinture avec "Peinture facile"?
- Hein! Drucila tourna la tête pour voir qui lui parlais. A oui! Vous aussi!
- Oui! J'ai presque fini le tableau!
- Vraiment! En tout cas on apprend vite avec cette méthode!
- Et comment! Bon! A la prochaine!
- Salut!

A ce moment-là, Drucilla aperçu une ado qui, Ô , miracle, était vêtu correctement, en plus d'être mignonne! Elle aimerais bien avoir une Bru aussi charmante qu'elle! Elles parlèrent un peu, puis elle rentra chez elle.

Elle prit le journal et s'installa sur le canapé. C'est ainsi qu'elle tomba sur l'annonce de la venue da la famille la plus riche de SimsWorld : La famille mystérieuse De SOLERIS LUMERIS. Une étrange famille japonaise qui vivait "longtemps".

Franky était heureux-heureux! Il avait montré son constume tout neuf, acheté avec ses dernières économies ce matin, à Willëm qui avait approuvé!
Il rangea soigneusement son costume. Le premier pas vers le mariage était fait! Il ne restais plus que le boulot à trouver pour acheter la bague et acheter une maison...

Le blog de Lauramourette est très agréable aux yeux.
Elle nous entraîne dans la vie de ses sims avec un humour détonnant et toujours juste.
A vos mouchoirs! (c'est par ici)

On ne vous présente plus la génialisime Fonsine !
Elle revient, pour notre grand plaisir, avec ce challenge qu'elle a inventé!
Sa narration est toujours aussi excellente et si vous recherchez une histoire proche du feuilleton télé, allez ici !

Shirshasana S'y est aussi mise. L'interface de son blog est simple, épuré et agréable. Son challenge aussi. Allez donc y jeter un petit coup d'oeil! C'est ici.

Allez ici, vous trouver le site édulcoré de Sylvania. Son challenge avance à son rythme, les photos sont superbes, ses sims aussi.

Je préférais détourner mon télescope pour voir ailleurs. Si cette homme se sentais plus à l'aise en se déguisant en femme une fois chez lui, cela ne regardais personne!
Tout étais encore vert dans ce quartier mais j'ai pu apercevoir un chatier énorme près des lotissement de bord de mer, sans parler des promoteurs et ouvrier qui oeuvraient juste à côté de chez nous.

- Pfff! Pff! Haan! Ffff!! Aaaaah! J'ai enfin fini ma série! S'exclama Frank qui finissait ses échauffements.
En se relevant, il y vit la plus belle vision qu'il ne lui est jamais été donné de voir. Une silhouette longiligne très féminine, de long cheveux de feu, et des yeeuuux! Des yeeuuux! Wouuah! La jeune femme, qui venait de la maison d'en face, s'arrêta et il décida de la saluer de suite, pour signifier sa chasse gardé!.

- Bonjour belle demoiselle!
- Hihihi! Bonjour bel homme! Repliqua-t-elle en gloussant.
- Je me nomme Frank POPULIS, et vous?
- Analia. Analia INOSENCE.
- Que me vaut l'honneur de votre charmante venu? Dis-je le sourire charmeur.
- Deux de mes soeurs et moi-même sommes venu vous souhaiter la bienvenue dans le quartier. Il faut dire que nous somme installé ici peu avant votre venu. Et il serais intéressant de nous connaitre, entre nouveaux! Termina-t-elle par un clin d'oeil coquin.
Grand Sims, qu'elle me plait!!

En entendant des voix, je décollais l'oeil du télescope et vit trois jeune femme, dont une me tapa directement dans l'oeil. Je passa ma tête entre la fenêtre de notre salle commune et préviens les autres des nouvelles venues tout en demandant à Narty de faire quelque chose à manger.
J'eu même pas fini de parler que Eduard troisième du nom s'était déjà précipiter dehors.

- Je vous donne le bonjours, belle Dame. Mon nom est Edouard III de SIMFLOUZE. Puis-je connaitre le vôtre?
- Tamara INOOSENCE. Enchanté de faire votre connaissance, milord. Mon coeur avait manqué un bond quand il me donna son nom. J'étais en face de l'homme le plus riche de Terra SimWorld, notre planète bien-aimée! INCROYABLE! C'est un signe du destin, et je ne compte pas laisser passer ma chance! Nous sommes venu à votre rencontre, mes soeurs et moi, afin de faire plus ample connaissance et vous souhaiter la bienvenue dans ce quartier paradisiaque. Comment c'est passé votre voyage?
- Epique! Il était épique!
Et c'est ainsi que nous débutâmes notre conversation.

- Enchanté Monsieur. Je m'appelle Lilia INOSSENCE.
- Et moi, Willëm VISIONIS. Ravi de vous connaitre.
- Et moi donc, souffla Lilia. Elle était carrément subjugé par cet Apollon tout à fait à son goût. Roux et à lunettes! Et il ne semblait pas de glace face à elle. Il se noyait dans son regard vert éclatant.

- Grand Sims! Quelle beauté. Quelle grâce! Mon coeur est en émoit!
- Hihihi! Vous pensez bien fort mon cher Willëm.
- Gasp! J-j-j-je  s-s-suis d-désolé...

- Ne vous inquiété pas, Will. Je peux vous appelé Will?
- Gneuh?
- Je vais vous avouer quelque chose. Vous me plaisé é-nor-mé-ment. Déjà qu'il était rouge de confusion, là il risquait de devoir ramasser sa machoir et la fixer avec des vis. Il semblerais que je lui est fait de l'effet. Tant mieux. Parce que les spécimen du coin sont affreux, jusqu'à maintenant.

Bon! Mes parents m'ont "jeté" ici pour apprendre "la Vie", je vais donc courtiser cette femme comme le fait si bien Juan :
- Mmmmm... Vous être une véritable beauté qui ne laisserais personne de glace. Je suis tout émoustillé par votre simple présence à mes côtés. C'est ainsi que les femmes tombaient dans les bras de Juan, mais c'est bizzare, cela n'a pas l'air de lui plaire. Vous êtes une vrai beauté fat...
- Rrrrrhoooo! Cela suffit! je ne suis pas une vulgaire pimbêche frivole! S'écria furieusement Tamara.

- M-m-mais... Attendez! Vous vous méprénez sur m...
- Suffit! Je pensais que vou aviez plus d'éducation! Mais après tout, vous devez avoir l'habitude de "faire tomber" les femmes!
- NON! J'essayais seul...
- De toute façon, vous n'etes pas à mon goût, acheva-t-elle avant de partir vers l'intérieur de notre maison.

J'étais dépité. Je pensais que cette méthode était la bonne, mais finalement, pourquoi me faire passer pour ce que je ne suis pas? Je ne veut surtout qu'elle me voit comme un homme sans manières ou grossier avec les femmes!
Je décidais donc de la rattraper et de rafistoler les morceaux.

Et quoi de mieux qu'une bonne petite blague. Après cela, elle me ragarda moins durement et je me remis à avoir de l'espoir, car elle me plait réellement! Et pas seulement parce qu'elle à l'air d'appartenir à mon monde.

- Belle Lilia! Que vous êtes splendide! Le soleil frappant vos cheveux semblable au feu puissant et vos yeux aussi envoûtant que l'est la danse des serpents. Votre parfum nous emporte vers des lieux enchanteur et votre présence est telle l'oxygène qui nous fait vivre!
- Ooooh! Will!
- Lilia! Notre rencontre était pré-destiné! Et j'aimerais qu'on aille plus loin que de simple "bonjour". Pourquoi attendre alors que nous nous sentons attiré l'un par l'autre?
- Je suis entièrement de votre avis, Will!

Mais Will, tout à sa contemplation de sa dulciné atitré, ne vit pas le dansger se rapprocher à grands pas de course.

Alors que les conversation étaient animés, il sentit plus qu'il ne vit les regards meurtriers de l'inconnu. Il jeta un coup d'oeil par-dessus son épaule.
Et c'est là qu'il vit, et reconnu, l'homme qu'il obsevait tantôt à travers son télescope.

Juan, qui sentait les ennuis venir pour Willëm, décida de tenter sa chance auprès de la seule jeune femme pas occupé en ce moment.
- Bonjour, ravissante frimousse. Je suis Juan AMOR, pour vous servir! Quel est le nom de la beauté divine en face de moi?
- J... Au moment où Lilia allait répondre à ce Don juan, l'altercation entre l'homme brun et Will haussa d'un ton.
- ...vent d'épier les gens CHEZ SOI! PERVERS! VOYEUR! Tu te crois où, ici? HEIN! LE BLEU! Je vais faire de ta vie un véritable ENFER, si tu raconte ce que tu as vu! COMPRIS!

Will est touché par les parole blessante de l'intur et, sur le coup, fut tout retourné.
Même Edouard III intervint pour les séparer avant qu'ils n'aillent plus loin et Tamara ne perdit pas une miette de ce qui se passa.

C'est alors que Will se ressaisit et décida de répliquer sec à son opposant qui, sans se rendre compte, lui fourni son point faible.
- Ecoutes-moi bien, mon mignon! Tu vas commencer par te calmer et m'écouter attentivement, je ne me répéterais pas deux fois. Primo, je suis ici chez moi, et je fais ce qu'il me plait. Secundo, si tu n'était pas trop occupé à te grimer, tu aurais remarqué que ma lentille n'a brillé que quelque seconde avant de bouger. Je ne suis tombé sur ta misérable personne uniquement par erreur. Et tu ne peux juger de mon utilité à la société vu que tu ne connais aucunement mes capacités. Et tertio, si tu ne veuxx pas que je fasse de ta vie un ENFER, tu ferais bien mieux de te faire oublier! Termina Willëm sur un ton polaire et tranchant comme des lames de rasoirs.

Alors que le brun reparti pâle comme un mort, je cherchais ma belle du regard. je vis ce bellâtre de Juan discuter avec Lilia, alors qu'à côté, Frank allait presque nous mettre l'autre femme en cloque. Je tendis l'oreille pour mieux entendre.
-... et lorsque je pense à toi, déjà, de milliers de petits coeurs s'échappe de mon corp et me transporte aux portes du Nirvana! Tes ordres sonneront tels mes désirs à assouvir!
- Oooooh! Grand Sim! Que tu es romantique!
- C'est toi qui me rends ainsi.

- Et toi tu me rend toute chose! Surtout depuis que mes yeux se sont posé sur ton tatouage facial! Je me suis sentie siiii... étrangement bien!
- ... Ah bon?
- Oui! Vraiment bien. Analia passa une mèche derrière son oreille tout en fixant timidement Frank.
- Tu aime les enfants, Analia?
- Oh Oui! J'aimerais bien en avoir quatre!
- Et je suis sûr que nous aurons de beaux bébés robustes... souffla presque Frank en fixant intensément Analia droit dans les yeux.
Sur le coup, Analia fut complètement ahurie. Elle avait bien entendu là? C'était... carrément surréaliste!

Willëm compris que Frank était on ne peu plus sérieux! Il n'avait jamais été ainsi. Il sera sûrement le premier marié entre-eux.
Il retourna son intention auprès de Lilia et vit qu'elle n'en pouvais plus du baraguoinement de Juan. Il décida d'appeler tout le monde à la soupe et ainsi, délivrer Lilia du tombeur invétéré.
D'ailleur celle-ci le remercia d'un doux sourire.

D'un point de vu extérieur, on voyais clairement trois couple se dessiner. Et aucun risque que ceux-ci aillent voir chez leurs voisins!

A l'intérieur de la maison, les filles firent connaissance de Narty Fétafète qui peignait une toile. "On ne sait jamais! Il pourra être utile à mes descendant après ma mort", avait-il répondu à la question de Tamara.
Mais peindre en tenue de soirée! Pffff! Quelle excentricité!
Juan, Willëm, Tamara et Edouard III prirent place à table.
Tandis que Frank s'éclipsa pour prendre une bonne douche, Analia pensait déjà à ses futurs enfants et Lilia à une demande en mariage.
C'est une fois sur le canapé qu'elle prirent part à la discussion générale.

- ... mmes aiment les bijoux. C'est connu, enfin Juan! s'exclama Edouard.

- Des bijoux acheté dans les boutiques de jouets suffisent à révéler la vrai personnalité d'une femme alors! Répliqua sournoisement Juan.
- Mais no, Juan! Tu es désespérant! Il ne faut pas de grossier bijoux! Il faut de la qualité et la finesse. Comme un collier de perle noir de Tahisim, ou des parures de chez Bulgarsim, Cartsim, Martsim. sans oublier Tiffasim!
- Pfffiou! Tu ne prend pas que les moins toi! Siffla d'étonnement Will. Il oubliait parfois qu'il avait à faire à un riche héritier.
- Tu ne cites que les plus grands joailliers! Ajouta Tamara.

Lilia et Analia étaient carrément sidérées! Si elle n'avait pas encore remarqué encore, là, elles fit arrête sur image, et reconnu ce célèbre personnage multimillardaire.
Et elle se demandais ce qu'il pouvait bien faire dans les parages! Tamara les éclairera sûrement.

- Tu ne pourra viser un plus bas! Répondit Juan à Edouard III.
- Juan à raison, Edouard. Une femme peut très bien se contenter d'un bouquet de rose, surtout au début d'une relation. Reprit Tamara! Nous ne sommes pas si "fixe" sur les choses matérielles, en général. Si l'homme qu'on aime est heureux, même dans la pauvreté, un simple pissenlit suffit à rendre belle n'importe quelle femmes!

- N'IMPORTE QUOI!  Répliqua trop vivement Juan.
Tamara le fixa avec de gros yeux ronds.
- Et ce n'est pas la peine de me regarder ainsi! Une femme ne se contente jamais de rine. Il lui faut toujours plus! jusqu'à demander l'impossible avant d'aller voir ailleurs!

Tamara se ratatina sur son siège par la violence des paroles de Juan.
Tout se passa très vite
Willëm et Edouard avaient à peine le temps de lâcher leur fourchette que Tamara vit le "coup" venir.
' D'ailleurs tu n'es qu'une traîné întéressé par le protefeuille de mon copain!

- VA TE RINCER L'OEIL AILLEURS! Et Juan lui jeta un verre d'eau sur elle.
Tamara n'eu même pas le temps de se protéger le visage.

Il y eu un silence de mort tandis que Tamara s'essuia le visage.
Elle se refusa de pleurer devant son agresseur, même si cela fut très difficil.
- JUAN! Hurla presque de rage Edouard III. Comment OSES-TU t'en prendre à une femme! Jamais! JAMAIS! Une homme doit agir de la sorte envers elles! Même si c'est mérité! Mais ce n'est pas le cas! J'EXIGE que tu lui présente tes excuses! Cracha de manière virulent Edouard III.
Willëm, lui, serra jusqu'au sang ses poings pour ne pas frapper Juan! C'était abérant. Surtout qu'elle n'avait rien dit ou fait de mal.

- Excuses-toi tout de suite, espèce de rustre! Cria violement Analia, si douce habituellement.
Tamara, qui sentit l'air tourner, préféra mettre fin aux violences qui sourdaient dans le coeur de chacun, y compris le sien. Elle reprit la parole, d'une fois claire et forte, qui ne tremblait pas, alors qu'intérieurement, elle fulminait.
- Merci. C'est très gentils à vous de prendre ma défense, mais - elle se tourna vers Edouard - je m'en voudrais terriblement si vous vous fâchier plus que "nécessaire" avec votre "ami". Je préfère sortir prendre l'air.
Et elle joignit le geste à la parole. Elle sortie, ne laissant qu'à l'intérieur des personnes outrés, mais plus calme, grâce à ses mots.

Narty était le seul qui ne s'occupais que de son ventre affamé, à tel point qu'il alla même lécher les fond d'assiette avant de remarquer un sandwich rescapé qui n'attendais que lui.

Lilia, qui avait suivi la scène du dehors, se cacha rapidement derrière la maison des hommes lorsqu'elle aperçu Juan se diriger tel un prédateur vers une jolie passante en robe légère. Ce goujat, après son comportement macho et exacerbé, je jetais "littéralement" sur une femme "innocente". Elle entendit vaguement dire qu'elle s'appelait Magalie et qu'elle vivait ici depuis sa naissance.

C'est alors que Tamara la rejoignit en douce.
- Tu est calmé? Ca va mieux?
- Oui, merci Lia. Quand à ce goujat, il ne paye rien pour attendre! Mais il ne vaut pas la peine que je me jalisse les mains pour lui.
- Chut! Lilia poussa Tamara plus loin dans leur coin. Ton chevalier servant ne lâche pas prise, lui. Disait Lilia en souriant de manière espiègle à tamara.

Parmis les encombrants, les filles trouvèrent deux vieux oreilliers et jouèrent avec avant d'être repérer par Edouard.
- Hemm! Désolé de vous déranger les filles, mais, Tamara. J'ai parler avec Jua...
- Non! Ne prononce pas son nom s'il te plait. Je ne veux rien savoir de lui pour le moment!

- Mais il faut bien crever l'abcès, ma belle Tamara. Autant le faire de suite! Disait piteusement Edouard III.

- Je trouve qu'il a vraiment été méchant avec toi et je lui ai mi les points sur les "i".
- Mais p...
- Laisses-moi finir, s'il te plait. - Tamara le laissa continuer - J'ai fait cela caar j'aimerais aller au-delà de cette journée avec toi. Tu vaut vraiment la peine qu'on se démène pour toi.
Tamara, pour le coup, en perdit son Latin. Elle eu même le temps de voir Willëm arriver.

- Lilia, ma petite fleur des prairies, acceterais-tu un rendez-vous mardi soir, avec moi,
6 Oh! Will! Mais bient entendu!
Lilia n'en croyait pas ses oreilles! Elle décrochais un rendez-vous avec l'homme de son coeur dès le premier jour!
Elle se jeta dans ses bras, et s'étreignèrent un petit moment.

- J'aimerais vous inviter au théâtre, à des défiller de modes... et vous offrir tout les trésors du monde rien que pour un sourire de votre part, à mon égard. Je suis un peu maladroit, mais j'aimerais prendre mon temps avec vous. Si vous me le permetez, bien entendu.

Il n'y avais rien à ajouter de plus. Tamara était touché par la maladresse rafraichissante de cet homme pourtant très viril.
Elle était séduite, et pas seulement parce qu'il était riche. Elle aimait ses défauts et la place qu'il donnait aux femmes. Elle était sûre d'être aimé et choyé!
Elle se mis à rire, comme ça, et son rire se communiqua à Edouard III.
Ils était bien.

- Cela me plairais aussi de vous revoir au-delà de ce jour, très cher.
- Je suis heureux de vous l'entendre dire. Je vous appelerais alors, dès demain.
- Soit!

De leur côté, Willëm et Lilia s'apprétaient à se quitter.
- Mmmmm... Will... Il est temps pour moi de rentrer.
- Attend! Encore un peu!
- Ahahah! Noooon.... De toute façon, nous nous voyons demain soir...
- J'aurais du mal à t'attendre tout ce temps!
- Hahahaha! Lilia se repprocha de Willëm et lui déposa un chaste baisé sur les lèvres. C'est te donner le courage de tenir jusqu'à demain soir.
- Tu me comble...
Lilia se sontenta de luis sourire doucement.

A l'intérieur de la maison, Analia donna aussi son congé à Frank.
- Frank. La journée touche à sa fin. Je vais rentrer. Elle n'avait pourtant aucune envie de s'éloigner de cet homme. Elle Frank le vit dans son regard.
- Ana, ma douce et magnifique oiseau, je ne vais pas te sortir les violons, ni un dictionnaire, pour te dire qu'on avons eu le coup de foudre foudre l'un pour l'autre. Même si nous savons que nous somme fait l'un pour l'autre, je préfère y mettre les formes. D'autant plus que nous sommes à peine installé. Même si j'aurais préférer t'enlever, ici et maintenant, et t'emmener sur une île déserte pour nous marier et avoir pleins d'enfants! Termina-t-il sur un clein d'oeil rieur.

Analia ri aux éclats sur sa dernière remarque. Et Frank en était heureux.
A côté d'eux, Juan n'arrêtais pas de draguer cette "adorable de Magalie", en alternant blagues, mot d'admiration sur sa beauté et drague à tout va.
Analia sortie en jettant un regard de dégout sur Juan qui dragauit toujours la blonde.

Quand à Narty, le bienheureux, à la sortie des filles qu'il salua aussi, il se dirigea vers la plantation d'abre à simflouze afin de récolter les premiers billets.
Ils était au printemps, et la journée était très ensoleillé. Il se dit qu'ils pourraient organiser plein de fêtes avec leurs nouvelles voisines et, ainsi, passer de bon oment à oublié leur soucis.
Il se demanda déjà, quand il pourrait rencontrer une femme qui lui plaise vriament et commencer à sortir avec elle, afin de réaliser son rêve de 50 rendez-vous paradisiaques!

Désire à long terme : 50 rendez-vous paradisiaque
Tue l'amour : Puanteur
Attirance : Grosse, muscles
Métier : Cadie de golf (Flemmardise)
Petit amie :
Info: C'est une fêtard invétéré qui ne pense qu'à s'amusé, à telle point qu'il s'est retrouvé emrqué dans des problèmes (que vous découvrirez bientôt). Il a un bon fond, mais il lui faut un chaperon. Et vite. D'autant plus qu'il n'a aucune préférence particulière au niveau des femmes (ou des hommes).

Désire à long terme : Crac-crac avec 20 sims
Tue l'amour : Puanteur
Attirance : Maquillage, muscles
Métier : Cadie de golfe (Flemmardise)
Petit amie :
Info : Don Juan macho qui n'a aucune considération pour les femmes sauf sa mère. Ce "petit" problème remonterais à son indolescence, mais personne n'en parle. Réussira-t-il a tourner la page et à devenir moins odieux?

Désir à long terme : Magnat des affaire
Tue l'amour : Muscles
Attirance : Parfum, cheveux personnalisées
Métier : Distributeur de courrier (Affaire)
Petite amie :
Info : Descendant directe et unique des créateurs de la monnais (unique) de Terra SimWolrd, il est l'archétype même des gosses de riche née avec une petite cuillère en argent massif incrusté de pierres précieuses et des bonnes à n'en savoir qu'en faire. Il vivra comme le commun des mortels à partir de sa cohabitation avec ses amis à Spend Hell City car ses parents voulais lui montrer les aspects de la vie qu'il ne connaissait pas. Les femmes occupe, selon la culture de sa famille, la place la plus importante au sein d'une famille.

Désir à long terme : Légende
Tue l'amour : Blonde
Attirance : Sous-vêtements, grosse
Métier :
Petite-amie :
Info : Il est le dénominateur commun du groupe! Ils étaient tous amis avec lui avant de devenir ce groupe d'amis d'aujourd'hui! il aime être entouré d'amis et il en a jamais assez. Il est à l'écoute des autres et se montre toujours sous son meilleur jour. Mais en fait, c'est un hypocrite narcissique. Et le tatouage sur son front semble signifier quelque chose.

Désir à long terme : Génie du crime
Tue l'amour : Chapeau
Attirance : Cheveux personnalisés, tenues habillées
Métier :
Petite Amie :
Info : Intello insatiable, limite effrayant. Dans la vie de tout les jours, il est plutôt facile à vivre, mais il ne parle jamais de son enfance... Le mystère plane autour de lui, mais il sait comment détourner les attentions!

Si vous aviez pu voir cette maisonnette, portant grossièrement le nom de "ranch", à travers les rayons X, c'est ainsi que vous l'auriez aperçu... Avec les réamménagement que j'ai effectué, mes quartre potes et moi-même pourrons tranquillement prendre nos quartier sans pour autant se marcher sur les pieds, vu l'espace réduit dont nous disposons.
J'ai même pu faire des extra en louant un ordi pour 100 § la journée... Il y a toujours plus d'offres d'emplois par le Web.

Au fait, je ne me suis pas encore présenté! Je me nomme Willëm. Willëm VISIONIS. Je suis un jeune adulte venant tout droit de la cité d'argent elfique, Drëlfiros. Ainsi que mes mes amis d'enfance.

Je décidais donc de chercher du boulot dans le domaine du grand banditisme... Ils sont plus intelligeant qu'ils n'y parait et on leur propre site internet. Et là, je pourrais développer mon intelligence... pleinement! Même si je me refuse aux trafiques de drogue, d'organe et d'humain. L'escroquerie représente un plus grand défis à mon sens...
M'enfin!

Etant donné qu'il n'y avait rien pour moi, je me suis décider à apprendre quelques recette de cuisine en attendant le journal local.
Mais à peine allais-je poser mes jolies fesses sur ce canapé tout neuf, le postier pointa le bout de son jeune nez près de ma boite aux lettres.
Je me relevait prestement et alla à sa rencontre.

- Bonjour, jeune homme ! Dis-je de manière énergique tout en le détaillant.
- Bonjour, Monsieur ! Si j'avais su que vous amménagier juste en face de cette maison, je serais passé plus tôt, mais on ne m'a prévenu que maintenant, et...
- Je viens juste de m'installer ici, coupais-je, et j'ai préférer attendre la fin des travaux avant de recevoir quoique ce soit. Et je n'ai fini que maintenant.
- Oh! Ben... euuuuh... il y a aussi de très belle femmes installées juste en face de chez vous, elles sont arrivé très tôt dans la matinée, eeet.....
Le jeune homme rougit en me regardant à la dérobé. Et je compris soudainement pourquoi.
Mon apparence.
Je suis un elfe, après tout... Et cela peut s'avérer très utile...
Je reprit donc pour lui :
- Je sont des elfes, comme moi. C'est cela?
- ... Euuuuuh... Oui... Oh! Des gens arrivent par ici

- Il est tant pour moi de reprendre ma route. Au revoir mon... messieus!
Et il parti.
Je me retournait alors pour découvrir, sans surprise, mes amis d'enfances.

- Frank ! Les amis ! Cela me fait chaud au coeur de vous voir arriver enfin!
- Et nous donc ! Te voire si en forme alors que tu as entrepris, seul, l'amménagement de notre petit chez nous ! Et tu semble plus raoyonant qu'avant! Aurais-tu une bonne nouvelle à nous annoncer?

Pendant que j'expliquais à Frank l'histoire de jeunes elfes installé juste en face, Edouard troisième du nom entra dans notre maison (quelle douce prononciation "notre maison"), et Juan s'approcha de Narty qui devais sûrement penser aux prochaines fête qu'il organisera ET participera.

- Narty, mon ami, tu as entendu Willëm ! Il dit que de belles plantes vivotent en face de chez nous !
- Il parait ! Je trouve cela génial, car faire la fête avec juste des hommes, c'est pas top ! En plus, il y aura peut-être la femme de ma vie là-bas !
- Oh ! Tu parles ! Les femmes sont aussi nuisible que les rats ! Si tu te casent avec elles, t'es sûr de te retrouver dans une prison -5 étoiles ! Allons ! On s'amuse avec, mais ça s'arrête là !
- Juan ! T'es ignoble ! J'vais à l'intérieur, il fait frisquet ici !
- Avec ce gros soleil ! Se récria Juan.

Juan est vraiment pas possible ! C'est quand même une femme qui l'a mis au monde et il l'adorait ! Jamais il pensait ainsi d'elle ! Aurait-il un problème avec les femmes?
Bon, Willëm nous a brifté au sujet du PC, est j'en ai profité pour prendre un poste de Cadie de golf. Je sais que Juan prendra le même ! Ce n'est pas la place qui manque !
J'ai parlé un peu avec  Edouard III, (le nom de richard qu'il se trimballe ! J'm'y f'rais jamais !), et il m'a dit que Willëm a bien investie notre argent. Nous avons des lits de bonne qualité. Il partie au toilet et moi, je pars faire un tour de propiétaire. Sans parler de la soif que j'ai... J'aimerais bien une bière, tient !

- Aaaaaaaahahahaahaaahhah !
- Rigoles pas ! J'ai vraiment cru qu'ils allaient avoir une attaque !
- Aahhaa ... aaaah... Surtout si pour une maison tout neuve qu'ils venaient de terminer ! AAAAh ah ah aaahaaha ! Rhôôôôôôôô... J'imagine bien la tête que les ouvriers avaient !
- Surtout que les femmes d'en face on fait la même chose, apparemment !
- Han-han ! Han-han !...
Les deux se retournèrent et virent une belle femme noire faire son jogging. Elle s'arrêta pour faire quelques étirement et nous souhaiter la bienvenue dans ce quariter calme.
Puis elle repartie comme elle était venu.

Frank décida de faire un peu de sport pour "entretenir son image" avant de commencer les recherches d'emploi et de prendre ses marques dans notre chez nous.
Moi je parti rattraper Juan qui faisait le tour du logement.

- C'est vraiment une bonne idée ce PC ! En plus du boulot de Cadie de golfe que j'ai trouvé, idéal pour plus de temps libre, il y a une multitude de site de rencontre ! Une vrai mine d'or !
- Minute, Juan ! J'ai dit que la location de ce PC ne durait que la journée ! Pas plus ! Maintenant laisse la place à Ed !

- Une fois que Juan sortie de l'ordianteur, je cherchais et trouva un emploi de distributeur de courrier dans un grande entreprise. Comme par expérience je savais que le charisme faisait tout dans ce monde de requins, je me dirigea prestement devant le miroir m'entrainer pendant que Will téléphona à l'entreprise qui lui avait loué le matériel pour qu'il puisse le récupérer de suite. Cette journée s'annonce charmante !

Alors que Will lisait tranquillement le journal et que je ragardais une émission de cuisine, Juan se senti obligé de faire la conversation :
- Pourquoi tu regardes ça? Un homme n'a pas besoin de ça, les femeles sont là pour nous servir !
Will et moi, nous nous sommes violement retourné vers lui en même temps.
Je ne sais pas pour Will, mais j'avais comme une bande passante rouge devant mes yeux tellement j'était enragé devant ses propos.
Nous nous sommes levé comme un seul homme, et nous abandonâmes l'infâche misogyne sur le canapé typiquement féminin et créé par Dina LASIMSETTE.

Au vu de son visage où un sourir béa trônais sur son visage, je ne pense pas qu'il est compris quoi que ce soit.

Juan m'a réellement échauffé avec ses remarques de macho extrême !
Il faudrait vraiment éclaircir ce petit (gros) problème qu'il a !
Je décidais d'inaugurer mon télescope et j'ai pu admirer des paysages, des chantiers de maisons ou autre, de petits appartement avec...
OH!
...
Cet homme...
...
Je souris.
Et pensa : "Bienvenue à Spend Hell City les mecs!"